Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
transportrail - Le webmagazine des idées ferroviaires
17 août 2019

Paris - Lausanne : une recomposition qui passe mal

Scénario désormais classique en France, mais qui contamine désormais les liaisons avec nos voisins européens : l'introduction de TGV Duplex se traduit par une diminution du nombre de circulations proposées, dans la logique de la SNCF consistant à utiliser des matériels plus capacitaires mais à nombre de places offertes quasi constant.

La situation des Lyria est assez constrastée : sur la liaison Paris - Genève, la nouvelle offre proposera 8 allers-retours cadencés aux 2 heures, au lieu de 6 allers-retours. C'est l'aspect positif des évolutions à venir... mais n'oublions pas que l'offre a pu compter jusqu'à 10 allers-retours lors de la réouverture de la section La Cluse - Bellegarde au service 2011 ! Sur la liaison Paris - Zurich, la desserte passera de 6 à 8 allers-retours cadencés aux 2 heures. Bref, des évolutions positives sur ces deux relations.

En revanche, la liaison Paris - Lausanne sera assez nettement dégradée. S'il restera bien 6 allers-retours, la moitié sera assurée par le prolongement à Lausanne de 2 liaisons Paris - Genève complétant l'actuelle relation. Le nombre de rotations via Dijon et Vallorbe passera de 4 à 3 et le cinquième aller-retour de renforcement en fin de semaine disparaît lui aussi. Mais Lyria annonce une capacité accrue de 30% grâce aux rames Duplex.

200815_4411dole2

Dole - 20 août 2015 - Arrêt d'un TGV Lyria Paris - Lausanne assuré par la rame 4411. Les motrices seront conservées et réassociées aux tronçons Duplex des actuelles rames série 600 (dotées de motrices Réseau) desquels elles avaient été séparées dès leur livraison pour former les rames POS. L'avenir des tronçons Réseau ainsi reformés reste à clarifier car les hypothèses changent fréquemment... © transportrail

040719_4700LYRIAepoisses

Epoisses - 4 juillet 2019 - Les rames Duplex série 4700 portant les couleurs de Lyria apparaissent progressivement sur les liaisons vers Genève et Zurich. Elles revêtent une livrée très proche de celle portée par les rames TGV de la SNCF : la partie basse de la R4 et les flancs des motrices sont pelliculés de rouge. Le logo TGV Lyria figure dans un rectangle lui aussi rouge, pas vraiment travaillé... © transportrail

Les critiques ne manquent pas :

  • la moindre consistance de la desserte pour le nord du canton de Vaud, le Haut Jura, Dole et même Dijon, puisque les Paris - Genève sont sur la ligne à grande vitesse jusqu'à Mâcon ;
  • le coût du voyage, les Lyria Paris - Genève étant plus chers pour la clientèle lausannoise ;
  • le temps de parcours majoré de près d'un quart d'heure, sans compter qu'en cas de retard les CFF sortiront les ciseaux en limitant ces trains à Genève pour ne pas mettre à mal la trame horaire de l'arc lémanique ;
  • une première arrivée à Paris retardée de plus d'une heure, à 11h04 contre 10h03 : pour la clientèle d'affaires, ce n'est franchement pas une évolution heureuse...

Lyria-lausanne-2020

Pour compenser la perte de desserte, notamment le matin vers Paris, la mise en place de TER Dole - Vallorbe par la Région Bourgogne Franche-Comté est un pis-aller dont on peut douter de l'efficacité, puisqu'il implique deux correspondances, à Vallorbe et Dole pour les vaudais et pénalise lourdement le temps de parcours. Ainsi, le 18130 Vallorbe 5h02 - Dole 6h05 suppose d'abord que les voyageurs suisses mettent leur coucou de très bonne heure pour attraper le premier train peu après 4 heures, puis qu'ils acceptent de changer à Vallorbe et à Dole afin de pouvoir atteindre un TGV à Dijon qui, si tout va bien, les déposera à Paris avant 9 heures. Au retour, le 18137 Dole 17h22 - Vallorbe 18h33 assure l'équilibre, au prix une nouvelle fois d'une double correspondance, mais en imposant un départ en milieu d'après-midi de Paris.

Ainsi, la recomposition cristallise les critiques des lausannois (liaison plus lente via Genève, pas forcément plus fiable et très probablement plus chère), mais aussi des habitants des plateaux jurassiens et des dijonnais, qui perdent une fréquence et au passage une liaison interrégionale entre Dijon et Lausanne...

Publicité
Publicité
Commentaires
B
Autrement, lu en gare d' Arc et Senans : les travaux de signalisations dont je parlais dans l' article (pour la section Dole - Vallorbe) se termineront fin 2022, et coûteront 57 millions d' euros . Cela concerne bien sur la signalisation (donc des postes électriques), mais aussi des aiguillages (12 je crois) et du RVB . Je n' ai pas plus de précision car ma photo prise depuis le TER Belfort - Lyon, qui me descendait vers mes vacances, est hélas trop floue . Mais l' affiche se trouve sur les quais de Arc et Senans, est très précise sur les travaux................et si cela intéresse des gens du secteur.............? <br /> <br /> <br /> <br /> Bien entendu, cela ne concerne pas les travaux en-cours en gare de Dole pour les PMR . Cela est en sus.
Répondre
B
Dans le journal L' Est Républicain du jour, on y apprend que la suppression d' une desserte TGV Lyria à Dole sera compensé par une nouvelle desserte TGV Paris - Besançon Viotte . Pas plus de précision sur ce point . D' où, une question que même FNAUT Bourgogne Franche-Comté se pose : est ce le TGV Besançon Viotte - Paris de 6 h 39 (via Auxon (BFCTGV)) qui finalement serait détourné par Dole (?), et retour sur Besançon par le 19 h 20 (donc Dole vers 19 h dans ce cas) ? Ou un prolongement d' un TGV Paris - Dijon ?<br /> <br /> <br /> <br /> La liaison TER de compensation cité dans cet article serait un Vallorbe - Dijon . Donc sans changement/correpondance à Dole (ce qui arrangerait les usagers) ? Et quel type de matériel (Régiolis ou X-73500) ?<br /> <br /> <br /> <br /> Autant de question dont l' association "des concernés" n' a (hélas) pas encore la réponse.
Répondre
H
Quelqu'un connait les horaires 2020 de la liaison Genève Paris et si oui ou non dessert à Bourg-en-Bresse. Je suis en effet concerné de la liaison Genève - Chagny (à côté de Dijon) pour mon trajet de frontalier.
Répondre
B
Oui, en principe la desserte de Berne se termine en fin d' année . Quand je pense que nos "décideurs" promettaient que la liaison de Berne (qui passait avant par La Bosse et Pontarlier) gagnerait avec le TGV Est ou le Rhin-Rhône . Qu' en pense les voyageurs Bernois ? Et les compagnies aériennes doivent se frotter les mains !
Répondre
B
Oui, il est en principe prévu de supprimer la desserte de Berne . Et quand je pense qu' on nous disait (dont aux Suisses) que lBerne avait tout a gagner par le TGV Est ou Rhin-Rhône . Les compagnies aériennes, là aussi, peuvent remercier Lyria !
Répondre
J
Au fait, il ne semble finalement pas y avoir de passage de 6 à 8 aller-retours Paris-Zurich, mais plutôt la reconduction à l'identique de l'offre actuelle, avec suppression de la tranche Berne et prolongement à Zürich de l'aller-retour limité à Bâle (la capacité d'une UM Euroduplex est peut-être considérée suffisante par les CFF).
Répondre
B
oui, mais avant le TGV Est, tous les corails (ou trains classiques) Paris - Francfort passaient par Metz et Forbach.
Répondre
J
On peut faire un parallèle avec la ligne Paris-Francfort, où bien que le détour pas Strasbourg permette de gagner 10 minutes, 4 des 6 aller-retours quotidiens passent toujours par Forbach.
Répondre
B
Et vive le détour ! Au moins "une visite" du Jura Alpin Suisse..........et, encore, tronqué par les tunnels !
Répondre
G
De meilleures correspondances à Lausanne entre les Lyria Paris-Dijon-Lausanne et les EC Lausanne-Milan des chemins de fer italiens permettraient de faire le trajet Paris Milan en 7 heures-7 heurs 15 (ce qui serait compétitif par rapport aux TGV Paris-Turin-Milan hors d'âge).
Répondre
R
Finalement Lyria n’échappera pas à la sacro-sainte « rationalisation de l’offre », entamée depuis quelques années, essentiellement sur les relations entre Genève et quelques métropoles régionales françaises (Nice, Montpellier, Lille), qui s’achèvera d’ailleurs au prochain service avec la quasi disparition de la relation Genève – Marseille.<br /> <br /> En fait, seule la relation Paris – Genève présentera une légère amélioration par rapport à ces dernières années mais restera en retrait au regard de l’offre mise en place à l’occasion de la réouverture de la ligne du Haut Bugey puisque l’on comptait 9 AR (et un 10ème AR était programmé). Même Paris – Zurich ne retrouvera pas le niveau d’offre mis en œuvre lors du lancement de la LGV Rhin Rhône, alors constitué de 6 AR, puisque une circulation sera limitée à Bâle, pour être prolongée plus tard, à vide, jusqu’à Zurich (!). Mais c’est surtout Lausanne qui fera les frais de cette nouvelle « rationalisation » puisqu’elle perdra 1 AR. C’est d’autant plus regrettable que des travaux conséquents avaient été réalisés ces dernières années sur la ligne de Vallorbe, dont une partie, je crois, avait été financée par les Suisses, et devaient permettre de gagner quelques minutes.<br /> <br /> Pourtant, même avec seulement 15 rames, on pouvait, tout en restant sur les 8 AR Genève et les 6 Zurich, maintenir la 4ème fréquence Lausanne :<br /> <br /> - En limitant les Paris – Genève à … Genève<br /> <br /> - En adoptant, côté Suisse, les mêmes conditions d’exploitation qu’à Paris avec des temps de retournement inférieurs à 1h<br /> <br /> - En revoyant le positionnement horaire de certains trains <br /> <br /> En effet, un tel schéma nécessiterait la mise en œuvre de 12 rames.<br /> <br /> On comprend tout à fait qu’une meilleure productivité soit recherchée, et à ce titre, l’optimisation de l’utilisation du parc est à saluer, mais il est regrettable que Lyria, comme la SNCF, n’affiche pas de plus grandes ambitions en terme de trafic et de chiffre d’affaires.
Répondre
S
Je crains effectivement qu'il ne faille pas attendre de solutions pertinentes de la part de laxregion BFC, où le conseiller en charge des trains ne connaît rien au train. On le voit de temps à autre prendre le TGV à Montbard pour Paris... Outre l'incohérence de la desserte Belfort-ville Delle, on peut disserter sur la desserte squelettique des lignes du Morvan au delà d'autre vers Clamecy et Avallon, pourtant très tournées vers Paris. Et que penser de la création de 3 allers-retours supplémentaires sur Dijon Nevers, soit disant accélérés- moins de 10 mn de gain de temps avec une politique d'horaires et d'arrêts idiote: départ à 30 mn des TER existants, desserte de Montchanin alors qu'aucune correspondance n'est assurée sur ce créneau vers/de Montceau et Paray; puis desserte du Creusot 7 kms plus loin et ensuite arrêt suivant à Decize, 90 kms plus loin, en zappant totalement le Sud-Morvan dont Étang et sa correspondance vers Autun . Et toujours pas de départ de Dijon après 19h11, coupant toute possibilité de rejoindre la Nièvre en débarquant du Tgv Metz Srasbourg Lyon de soirée ou du TER de Nancy, ou encore du dernier TGV de Lausanne justement....
Répondre
H
On va très bien, la seule ville qui compte est Paris ! Ceci est une offre pour les touristes. Dijon et Lausanne, comme Genève et Lyon sont deux villes de grande taille et de proximité, qui méritent une vraie relation par le train. Mais cela n'existe pas. Il y aura 3 A/R pour Lausanne - Dijon, c'est un scandale.
Répondre
A
Sinon, une remarque sur l'avenir des rames POS : contrairement à ce qui est écrit, elles resteront en l'état encore quelques années, jusqu'à l'opération mi-vie de leurs motrices et des tronçons RD. Certaines d'entre elles ont déjà été "inOuisées" : remise au type Lacroix standard des aménagements intérieurs, wifi et livrée Carmillon. En fin d'année, 14 d'entre elles iront remplacer les dernières PSE sur le Nord, les 5 dernières iront renforcer les Réseau sur l'Est (en service intérieur uniquement ; les équipements 15kV seront neutralisés).<br /> <br /> <br /> <br /> Quant aux RD, par conséquent, il n'y a non plus pas de changements à prévoir dans les prochaines années, si ce n'est leur "inOuisation" également en cours (opération de confort avec pose de prises en 2nde et doublage de celles-ci en 1ère, livrée Carmillon).
Répondre
T
de toutes façons, avec un neugnot (je prends même pas la peine de mettre une majuscule à son nom ...) président de région qui a dit « l’avenir du rail n’est pas le transport de proximité » (voir la suppression des arrêts de Neuilly-lès-Dijon et Villers les Pots sur la ligne Dijon-Besaçon ou la misère du trafic sur Dijon-Seurre axe très peuplé) faut pas vous attendre à une super desserte de la ligne Dijon-Vallorbe ...<br /> <br /> Entre le trafic TGV en chute, Thello qui devrait tout le temps passer par Modane, et la misère du trafic marchandise sur la bosse, on peut se demander à quoi sert la modernisation des installations entre Dole et Vallorbe ...
Répondre
B
Nostromo, la FNAUT BF-C a proposé que le TGV départ Besançon à 6 h 32 passe par Dole, en non Franche-Comté TGV, pour ramasser les passager du FLIRT à Dole . Avantage : pas d' autre correspondance à Dijon . Mais, visiblement - et sans surprise (!) - encore une proposition de la FNAUT qui n' est pas retenue visiblement . Ca vous étonne ?<br /> <br /> <br /> <br /> Autre idée : détacher un Régiolis qui serait connecté à Dole avec un autre Régiolis (Besançon - Dijon) . Comme ça, pas de changement à Dole . Comme par hasard, c' est pas l' idée retenue, encore une fois !
Répondre
A
Les motrices POS ne seront pas immediatement réassociées aux tronçons Duplex des RD. Cela se fera lors de l'opération mi-vie de ces motrices et remorques, d'ici 5 ans.<br /> <br /> En attendant, les POS avec leurs tronçons Réseau et les RD avec leurs motrices Réseau sont en cours d'inouisation (wifi et remise au type Lacroix standard pour les POS, prises de courant pour les RD). Il y a déjà quelques rames POS (toujours utilisées par Lyria pour l'instant) et quelques RD qui circulent en livrée Carmillon.<br /> <br /> Parmi les 19 rames POS, 14 iront remplacer les dernières PSE sur le Nord et les 5 autres iront renforcer les Réseau sur l'Est (en trafic domestique uniquement, car les équipements 15kV et de signalisation seront neutralisés).
Répondre
T
L’arrivée à Paris du premier train en provenance de Lausanne se fait à 10 h 03 et non 10 h 23.<br /> <br /> C’est le 9260.
Répondre
B
Le coût du voyage via Genève ou Dijon est actuellement assez similaire (en comparant les 2 directs) et la desserte sera en fait plus étoffée qu’à l’heure actuelle. Aujourd’hui, on a 5 A/R dont 1 via Genève (à l’utilité douteuse aujourd’hui, il part de Paris à 12h11 alors que le précédent via Dijon part à 11h58...), on va passer à 6 A/R systématiquement. <br /> <br /> <br /> <br /> Les A/R via Genève vont voir leur temps de parcours légèrement réduit (3h58 contre 4h04)... mais effectivement avec une tentation très forte de les supprimer entre Genève et Lausanne au moindre pépin (on a facilement plus de 30% de TGV supprimés entre Genève et Lausanne aujourd’hui...). Autant dire que sur une liaison où le train était clairement en position dominante, les voyageurs qui verront qu’ils devront souvent changer de train à Genève pourraient choisir d’aller directement prendre l’avion...<br /> <br /> <br /> <br /> Officiellement, la suppression d’un A/R via Dijon est lié aux travaux entre Renens et Lausanne car les TGV circulent hors cadencement il me semble, donc si la fréquentation des TGV via Genève est trop faible (ce qui est le cas actuellement, même les passagers du service intérieur entre Lausanne et Genève boudent ces trains car ils impliquent d’arriver sur le quai sous douane), le 4e A/R pourrait revenir après les travaux. <br /> <br /> <br /> <br /> Mais cela poserait quelques problèmes logistiques, le parc de 15 rames sera trop juste pour assurer la desserte. D’ailleurs ce parc risque d'être un peu juste, donc il ne serait pas surprenant de voir des Duplex bicourant revenir de temps en temps sur Genève...
Répondre
T
Air France et Swiss remercient la SNCF de sa coopération :o)
Répondre
B
Encore faut-il avoir le matériel "passe frontière", Nostromo . Raisonnement juste, mais les seuls Régiolis transfrontaliers sont (pour l' instant) uniquement AURA, et pour le CEVA.<br /> <br /> <br /> <br /> Autrement, rien que le fait que le temps du parcours soit rallongé d' un quart d' heure, sans oublier le détour kilométrique, montre la stupidité de ce genre de décision pour les voyageurs Lausannois . Mais, ces "stupidités" ne sont-elles pas une spécialité de la SNCF de l' ère Pépy (clin d' oeil) ?<br /> <br /> <br /> <br /> Je serai le Maire de Lausanne, en représaille, j' appellerai mes citoyens désireux d' aller à Paris à prendre l' avion.<br /> <br /> <br /> <br /> En tout cas, cette décision montre le mépris des décideurs de Lyria (à 75% SNCF) envers leurs clients (ou dit comme tel) . Après Lausanne, il y a Dole, Frasne (Pontarlier et Neuchatel) et Vallorbe quand même ! Et les Suisses qui ont investis plusieurs millions (plus ou mons 10) de francs Suisse ces dernières années pour moderniser la gare de Vallorbe et mettre au gabarit Duplex les tunnels entre Vallorbe et Orbe ? Et les travaux en-cours pour la signalisation sur Dole-Vallorbe, Après ceux de 2007-2009 pour l' alimentation électrique ? Encore une ignominie de la SNCF de Pépy ! <br /> <br /> <br /> <br /> Chris 2002, cela ne vous rappelle pas un récent échange entre nous, ou vous parliez (pas à tort) "d' auto-flagellation" ? Mais, je crois qu' il y a de quoi comprendre les Français pro-rail en voyant ça, n' est ce pas ?
Répondre
N
J'ai bien peur qu'à terme l'histoire du Paris - Lausanne par Vallorbe ne se termine comme celle du Paris - Berne par Neuchâtel...<br /> <br /> <br /> <br /> Que l'on réduise l'offre TGV hors LGV ne pose pas vraiment de problème, à condition qu'une offre alternative efficace soit mise en place ! <br /> <br /> La double correspondance Vallorbe + Dole en TER est une aberration, je ne lui donne pas 3 ans.<br /> <br /> Un Eurorcité Lausanne - Dijon avec des correspondances adéquates serait plus cohérent.
Répondre
Publicité